Mykki Blanco, c’est le nom de scène du poète et artiste ultra-atypique Michael David Quattlebaum Jr : un personnage qui se déguise en femme et brouille par ses performances la notion de genre. Par sa musique, un rap glamour et révolutionnaire aux sonorités electro, il devient une incône queer dans le milieu du hip-hop et de la communauté afro-américaine.

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Nous avions eu le plaisir de recevoir Joy Angst l’année dernière sur le festival les femmes s’en mêlent. Joy Angst revient pour présenter son premier EP 6 titres, intitulé The Nest, qui sortira en mai prochain. Déroulant un fil entre puissance et fragilité, Joy Angst façonne une musique directe, épidermique et élégante à la fois. L’orfèvrerie des mélodies et arrangements dévoile un univers tout en sensations, aux accents mélancoliques, vintage et surf, entre tension rock et songwriting délicat, quelque part entre Shannon Wright, The Knife et la BO de Twin Peaks.

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Figure pluridisciplinaire de la nuit parisienne queer depuis une dizaine d’années, Juncutt mixe et organise sa première soirée en 2005 au Bataclan Café et rejoint le collectif Barbi(e)turix avec lequel elle organisera les soirées « Clitorise » et « Better Fucking Girls » à la Flèche d’Or puis au Social Club.
Maîtresse de cérémonie des soirées AMOUR SAUVAGE en 2016 au Cabaret Sauvage, GASTON Queer Clubbing qu’elle organise avec Vainui de Castelbajac entre 2013 et 2015 ainsi que des PIMP MY GASTON au Nuba.
Tantôt dj et party organiser, Juncutt est aussi l’auteure du blog à succès « Dead Disco, Chroniques du bal perdu. » Elle travaille actuellement sur son premier roman « Ultramoderne Décadence ».