Attention, attention, phénomène en approche !!!

Encore passée à travers les radars des médias hexagonaux, la New-Yorkaise SHILPA RAY commence à peine à sortir la tête de l’eau et il est impensable de ne pas vous faire découvrir sa voix d’or, son talent et sa furieuse présence scénique ! Tiens… On pense directement à une certaine Sarah Mc Coy passée il y a peu par chez nous.

Repérée par Nick Cave, elle a assuré ses premières parties et lui a confié quelques compositions sur son dernier album… Il y a pire comme parrain, mais il y a pire comme filleule !

SHILPA RAY possède une voix rare, un grain singulier : habitée par une âme soul, une gouaille blues saisissante et une culture vocale faisant le grand écart entre les poussées magistrales d’Amy Winehouse ou plus fiévreuses de Wanda Jackson. Les instrumentations, appuyées par l’omniprésence d’un harmonium, surprennent de richesse et d’érudition musicale. Sur une base pop enrichie de sunshine soul et rock sixties, elle se réfère avec malice aux anciens (Lee Hazzelwood, Johnny Thunder), et s’amuse des codes relancés par des artistes plus récents comme Beach House, M. Ward ou encore Richard Swift. De ses influences, propres au melting pop culturel de la Big Apple, il en ressort des arrangements teintés de jazz-blues mutant, de sonorités exotica typiques des compositeurs 50’s et des textes engagés, à la lisière d’une démarche punk.

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ALDOUS HARDING est une enfant de Lyttelton, univers précieux et isolé de Nouvelle-Zélande. Elle trouve dans la folk la sincérité de l’existence. Héritière d’une scène rock et d’une philosophie de vie plutôt vagabonde, c’est dans le songwriting country le plus authentique qui soit qu’Aldous se tourne pour trouver sa force d’expression. Épurées, narratives, écorchées ou attendrissantes, ses compositions révèlent ce que l’intimité tente de dissimuler. No Peace, Hunter, Beast, Stop Your Tears, nombreux sont les titres qui, portés d’une voix angélique, viennent accompagner les heures creuses du quotidien, révélant un rayon de soleil bienveillant.

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Nous avions eu le plaisir de recevoir Joy Angst l’année dernière sur le festival les femmes s’en mêlent. Joy Angst revient pour présenter son premier EP 6 titres, intitulé The Nest, qui sortira en mai prochain. Déroulant un fil entre puissance et fragilité, Joy Angst façonne une musique directe, épidermique et élégante à la fois. L’orfèvrerie des mélodies et arrangements dévoile un univers tout en sensations, aux accents mélancoliques, vintage et surf, entre tension rock et songwriting délicat, quelque part entre Shannon Wright, The Knife et la BO de Twin Peaks.

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