Dans le cadre de La Semaine de l’insolence avec le Rabelais

Clarika

Chanson / France

Clarika livre un septième album tantôt fougueux et intrépide, tantôt doux-amer, mais toujours captivant. On y retrouve la liberté d’écriture et la justesse de ton qui sont sa marque de fabrique depuis plus de vingt ans, pour la première fois soulignées par de somptueux arrangements de cordes. Une production qui porte la patte de son réalisateur, le génial Fred Pallem.

Deux duos figurent parmi les treize titres de l’album, l’un avec La Maison Tellier et l’autre avec Alexis HK. Deux touches masculines sur un album où la féminité et la sensualité sont assumées sans être exhibées, où les contrastes font ressortir la sensibilité à fleur de peau d’une artiste qui ne cesse de s’interroger et de s’émerveiller sur les choses de la vie, les grandes comme les petites.

« C’est elle qui a réveillé l’écriture au féminin, dès le milieu des années 90, bien avant que des Anaïs, Jeanne Cherhal ou Camille s’engouffrent dans le chemin ainsi défriché. » V. LEHOUX TELERAMA

 

Autres vidéos