Dokhandeme tire son nom ( en wolof ) d’une caste d’émigrants permanents, vagabonds qui voyagent pour gagner leur vie, de ville en ville…Au micro il y a Nasree : origi- naire de Dakar, à ses côtés, Kostia Delaunay, ex-guitariste de Meï Teï Sho ; DJ Cherif, arrangeur talentueux en studio et scratcheur virtuose sur scène ; Nico Delaunay à la batterie, et, sur leur premier album, la voix incendiaire du very special guest Sir Jean (Meï Teï Sho, Ez3kiel, Le Peuple de l’Herbe). Confrontant vieilles sonorités jamaïquaines et textures plus modernes du hip hop, du dancehall et de l’électro, le son Dokhandeme, fruit du mélange des genres, est en perpétuelle évolution et reste résolument axé vers le groove : scratches ciselés, riddims puissants, basses massives, beats efficaces et toasts racés.

Ben’Bop, en wolof, signifie « une seule tête ». C’est aussi l’expression que l’on utilise au Sénégal pour désigner une réunion entre personnes ayant des objectifs communs.
Une richesse musicale et instrumentale cosmopolite au service du rock, de la chanson, du hip-hop, du ragga, le tout en français, en anglais et en wolof. Ben’Bop réunit, entre autres, le violoniste de Louise Attaque et les anciens du BBC Sound System.

Deuxième cadeau pour cette soirée de rentrée et deuxième retour, celui de SUBA ! Nous accompagnons ce magnifique projet artistique au croisement des cultures africaines et occidentales depuis sa naissance… C’est donc une grande joie de savoir qu’il va reprendre le chemin des concerts en Europe et en Afrique !
SUBA qui signifie « demain » en wolof n’a rien perdu en pureté musicale ! Le groupe sonne rap au flow engagé. Un afro-groove laissant la part belle aux instruments traditionnels, à l’électro, aux arrangements modernes et marqué par un slam puissant, écorché et rageur.
Autour de Matador (meilleur artiste hip hop sénégalais 2010) SUBA s’implique dans chaque morceau pour mettre en valeur des textes forts de sens et d’émotions.