Les apprentis sorciers de Doog forment une parfaite symbiose électro, mariant basse mélodique et guitares soniques sur fond de samples. Aventurier de l’espace musical, le duo n’hésite pas à faire se téléscoper des influences aussi diverses que le rock, la noise, la techno, le groove pour obtenir à l’arrivée un genre de « fourre-tout » captivant.
Les Lyonnais de Meï Teï Sho élaborent un piquant cocktail d’afrobeat, jungle, jazz. Basse implacable, batterie infatigable, guitare spatiale, platine écorchée, sax onirique, chant sensuel sont les ingrédients d’une potion aux vertus aussi dansantes qu’étourdissantes. Plus qu’un groupe, ils se veulent un véritable concept musical. Le dépaysement est assuré !
Enfin, le groupe mâconnais JMPZ revendique une création intuitive sans limite pour produire une musique inclassable. Didjeridoo, basses, percus, batteries, platines, séquenceurs et voix se mêlent pour des morceaux entre dub, beats technoïdes et rythmes groovy. Ces jeunes musiciens sans complexes s’autorisent tout, leur unique but étant de provoquer un état propice à la fête !

JMPZ

Faut-il encore présenter LE groupe mâconnais ? allez, le truc pour ceux qui ne savent pas : JMPZ : Juju, Mole, Pierrick, Zane… les premières lettres des 4 zicos fondateurs du groupe. Le concept de base, c’est deux basses et deux batteries qui s’affranchissent des ces tricoteurs de guitaristes et de ces égotiques de chanteurs… Mais aussi des logiques mélodiques habituelles, pour se jeter dans un inconnu musical rythmique, tribal et groovy, pour inventer, innover, déconner, bref, pour créer !!! C’était en février 1996 et ça a vite fait le buzz sur Mâcon, puis plus loin, de plus en plus loin ! Puis le groupe a évolué avec l’arrivée d’un didjeridoo, puis d’un DJ, viennent ensuite les albums et les tournées qui s’enchaînent, les changements de zicos, les heures de gloire, les bonheurs et les difficultés inhérentes à un projet artistique ambitieux… Et voilà, ce soir c’est la dernière, le clap de fin du groupe après 15 ans de concerts, les adieux au public qui les a vu naître, la dernière rentrée au port accompagné sur scène d’une grosse partie de la scène électro-rock-tribal-groove hexagonale. Comment serait-il envisageable de ne pas y être ?!

Meï Teï Sho

Electro jazz world

Doog

Electro