Comme tous les ans, le Brise Glace s’associe au Secours Populaire pour le mythique concert du Père Noël est un rocker ! Est-il encore nécessaire de vous présenter cette soirée au profit des enfants défavorisés ? Une soirée pour laquelle tout le monde (artistes, personnel, intermittents, service de sécurité…) se mobilise pour offrir à toutes et tous des cadeaux sous le sapin !

Flu Flu Birds

Cowpunk / France

Le Flu Flu Bird est un oiseau originaire du Nouveau-Mexique qui se nourrit exclusivement de chili con carne et se voit donc dans l’obligation de voler à reculons pour soulager son arrière-train … En faire un nom de groupe en dit certes long sur le degré d’idiotie des musiciens mais la beauté, la sensualité et l’originalité de leur cow-punk éthilo-acoustique vous fera rapidement oublier qu’ils sont cons comme des plaques d’égout …

À bout de fliches

Rock artisanal / France

À bout de fliches vous embarque pour une tentative de tour du monde en chansons d’amour traditionnelles. Pour s’attaquer aux désordres de la planète, cet orchestre intemporel n’a qu’une mission en tête : utiliser sa musique pour tisser du lien entre les cultures, restaurer le dialogue entre les peuples et diffuser l’amour universel sur tous les continents. À moins que cet élan d’altruisme ne serve, en fait, qu’a combler que leur propre misère affective ! Bossa, Jazz manouche, chanson africaine, chœur soviétique, et techno artisanale créent un set déstructuré, à l’image de la désorganisation des musiciens, de leur humour et leur envie irrépressible de partager avec le public. L’orchestre A Bout de Fliches, s’il ne parvient pas toujours à sa mission première, ne failli jamais dans la création lente mais puissante, d’une hystérie collective.

El nieto del Gancha

Garage one man band / France

Comme son nom l’indique, El nieto del Gancha est le petit-fils du lutteur de lucha libre mexicain « El Gancha », fameux pour sa prise du crochet, dont il tire son surnom (gancho = crochet en espagnol). En hommage à son grand-père, il porte le célèbre « antifaz » (masque de luchador) de celui-ci, et a décidé de prendre un nom de scène à sa mémoire. Peu enclin à devenir mariachi, c’est dans un style brut aux sonorités garage qu’il décide de s’illustrer, réinventant à sa façon diverses chansons, connues ou non, dans un répertoire allant du générique de série des années 80 à des chansons françaises de cette même décennie, en passant par des reprises d’artistes plus iconiques tels que Motörhead, Nirvana, ou encore Georges Michael, ou The Supremes.